Le programme de développement durable à l'horizon 2030 a été adopté en septembre 2015, mais il ne pourra être réalisé tant que la moitié de la population, c'est-à-dire les femmes et les filles, sont victimes de discrimination juridique. Partout dans le monde, les femmes font l'objet d'une discrimination sexiste dans les lois relatives à la vie politique et publique, au mariage et à la famille, à l'accès à la justice, à la violence sexuelle et à l'accès économique.
Une réforme juridique de fond est nécessaire pour faire disparaître la discrimination des lois, en particulier à l'égard des femmes et des filles. La Feuille de route pour l'égalité substantielle : 2030 cherche à atteindre ce but par la promotion de partenariats entre les organisations internationales et régionales, les gouvernements, les parlements et la société civile pour mettre en œuvre des réformes législatives fondées sur l'égalité des sexes et sur les cadres internationaux des droits de l'homme et juridiques.
"Le plein exercice des droits fondamentaux de toutes les femmes exige de transformer les relations de pouvoir et de lutter contre les inégalités structurelles. Cela signifie également permettre aux femmes de devenir maîtres de leur vie, de leur corps et de leur destin," a déclaré le Secrétaire général de l'UIP, Martin Chungong, lors du lancement de la Feuille de route. "Ces droits doivent être inscrits dans des lois correctement appliquées et voici où les parlements et les parlementaires ont un rôle clé à jouer."
Parmi les orateurs, il y avait en autres Phumzile Mlambo-Ngcuka, Directrice exécutive d'ONU Femmes, et Yasmeen Hassan, Directrice exécutive mondiale d'Egalité Maintenant.
Le lancement, organisé à New York conjointement par ONU Femmes, l'UIP et Egalité Maintenant le 14 février 2017, a réuni des représentants des parlements, des gouvernements, de la société civile et des organisations internationales dans le but de promouvoir des partenariats pour soutenir l'égalité des sexes d'ici 2030.
Source: Union interparlementaire
Le programme de développement durable à l'horizon 2030 a été adopté en septembre 2015, mais il ne pourra être réalisé tant que la moitié de la population, c'est-à-dire les femmes et les filles, sont victimes de discrimination juridique. Partout dans le monde, les femmes font l'objet d'une discrimination sexiste dans les lois relatives à la vie politique et publique, au mariage et à la famille, à l'accès à la justice, à la violence sexuelle et à l'accès économique.
Une réforme juridique de fond est nécessaire pour faire disparaître la discrimination des lois, en particulier à l'égard des femmes et des filles. La Feuille de route pour l'égalité substantielle : 2030 cherche à atteindre ce but par la promotion de partenariats entre les organisations internationales et régionales, les gouvernements, les parlements et la société civile pour mettre en œuvre des réformes législatives fondées sur l'égalité des sexes et sur les cadres internationaux des droits de l'homme et juridiques.
"Le plein exercice des droits fondamentaux de toutes les femmes exige de transformer les relations de pouvoir et de lutter contre les inégalités structurelles. Cela signifie également permettre aux femmes de devenir maîtres de leur vie, de leur corps et de leur destin," a déclaré le Secrétaire général de l'UIP, Martin Chungong, lors du lancement de la Feuille de route. "Ces droits doivent être inscrits dans des lois correctement appliquées et voici où les parlements et les parlementaires ont un rôle clé à jouer."
Parmi les orateurs, il y avait en autres Phumzile Mlambo-Ngcuka, Directrice exécutive d'ONU Femmes, et Yasmeen Hassan, Directrice exécutive mondiale d'Egalité Maintenant.
Le lancement, organisé à New York conjointement par ONU Femmes, l'UIP et Egalité Maintenant le 14 février 2017, a réuni des représentants des parlements, des gouvernements, de la société civile et des organisations internationales dans le but de promouvoir des partenariats pour soutenir l'égalité des sexes d'ici 2030.
Source: Union interparlementaire